Sur le terrain de lacrosse après leur victoire.Les joueurs entrent au vestiaire.
-scott : Stiles ? Stiles ? y’a pas quelqu’un qui a vu Stiles ? eh je vous parle ! y’en a pas un qui a vu Stiles ?
Scott heurte Allison.
-Un joueur : qui est ce qui va aller en finale ? qui ça ? qui ça ?
-Allison : je dois dire que t’as assuré ce soir.
-scott : merci toi aussi. Euh je veux dire, je me suis mal exprimé.
-Allison : nan,t’as raison je vous ai encouragé avec beaucoup d’enthousiasme . tu peux me remercier.
-scott : c’est vrai ?
-Allison : j’ai crié 5 fois « allez beacon hills » sans reprendre mon souffle. Sacrée performance. J’ai battu mon record.
-un joueur : qui est ce qui va aller en finale ? c’est nous, c’est nous.
Allison s’éloigne avec son père.
-Jackson : oh ça me brise le cœur de voir ça. Tu dois en passer des nuits à pleurer. Mais je vais te dire un truc. Sincèrement je compatis. Enfin de compte je comprends pas pourquoi t’aurais pas droit à ta part du gâteau. Tu me donnes ce que je veux, et je t’aide à la récupérer.
-scott : quoi ?
-jackson : bon le bal d’hiver c’est dans 3 jours exactement,et je pourrais te la laisser pour que tu sois son cavalier. Comme ça tu pourras potasser le baratin que tu vas lui sortir pour lui enlever sa petite robe. Et tout le monde y trouvera son compte. Je te donne 3 jours. Profite-en.
Dans les vestiaires :
-Danny : c’est bien les gars. Au fait mc call excuse accepté.
-scott : je me suis pas excusé.
-danny : a chaque fois que t’avais la balle tu me faisais des passes.
-scott : chaque fois que je t’ai passé la balle t’as marqué des points.
-danny : excuse acceptée.
Danny s’en va. Tout à coup la lumière s’éteint.
-scott : danny ?
Une balle de lacrosse arrive dans les vestiaires. Scott s’approche et la ramasse. Derek est là.
-scott : mais ou t’étais passé ? je peux savoir ce que tu faisais ? moi je suis dans la merde et toi tu fais le mort !
-peter : je comprends vraiment rien à ce sport.
-scott : alors c’était vous.
-peter : moi, quand j’étais au lycée, je jouais au basket. Au moins c’est vrai sport. J’ai lu quelque part que la crosse a été inventée par les tribus amer- indiennes dans le but de résoudre leurs conflits. Je me trompe peut être. Ou alors… bref. Moi aussi j’ai un petit conflit à résoudre scott. Mais c’est de toi que j’ai besoin.
-scott : si c’est pour tuer des gens comptez pas sur moi .
-peter : je tiens pas forcément à sacrifier tout le monde. Seulement les responsables. Et j’aurais pas besoin de m’en prendre à, c’est comment déjà ?
-derek : allison.
-scott : t’es de son côté maintenant. Au cas ou t’aurais oublié, je te rappelle qu’il a tué ta sœur.
-derek : c’était un accident.
-scott : quoi t’es dingue.
-derek : ça arrive c’est tout.
-peter : scott. Je crois que tu te méprends sur nos intentions. Nous voulons juste que tu profites pleinement de ton potentiel.
-scott : en tuant ceux qui me sont chers.
-peter : sache que les personnes dont tu es le plus proche sont parfois celles qui t’empêchent d’évoluer.
-scott : si c’est pour m’empêcher de devenir un détraqué , un psychopathe comme vous , ça me dérange pas.
-peter : peut être que, je pourrais essayé de voir les choses ; de mon point de vu à moi.
Peter griffe scott. Il tombe au sol. Il a alors des hallucinations sur le soir de l’incendie et sur la guérison de Peter.
-Lucy hale : peter ?
On voit scott et stiles découvrir le corps de Lucy.
Générique.
Dans les vestiaires. Scott est seul.
-Stiles : scott. On est vraiment dans la merde.
-scott : tu peux me croire je suis au courant.
Allison est dans son lit elle se retourne. Elle imagine que Scott l’embrasse avant de se réveiller. Elle se lève et cherche son collier. Elle va dans le garage. Tout à coup il s’ouvre.
-chris : c’est la première fois que la question se pose depuis qu’on est ici.
-kate : tout ce que je dis, c’est que si on tire avec ces trucs là, ça va forcément attirer l’attention de quelqu’un.
-chris : ces petits bijoux m’ont sauvé la vie plus d’une fois, je te signale. Et je sais parfaitement passer inaperçu si besoin est.
-kate : dixite celui qui utilise l’arbalète comme arme de prédilection , tu pourrais transmettre tes compétences à ta fille si tu le voulais.
-chris : pas encore.
-kate : pas encore. Ou jamais.
-chris : j’ai dit pas encore. Tu viens ?
Kate laisse une flèche sur le meuble.
-Kate : ouai. J’arrive.
Allison sort de sa voiture. Elle va chercher la flèche sous les yeux de Kate.
Jackson est en voiture. Dans un parking. Sa voiture arrête de fonctionner. Il descend voir. Une autre voiture arrive.
-chris : un petit coup de main ?
Dans les bois :
-Lydia : allison, quand tu m’as dit que t’avais une course à faire avant qu’on aille en ville , une rando de 10 km dans la forêt c’est pas vraiment ce que j’avais en tête.
-Allison : avant que j’oublie. J’ai un truc à te demander à propos du bal d’hiver. Jackson m’a demandé d’être sa cavalière.
-lydia : ah oui.
-allison : y’a aucune ambiguïté, mais je voulais quand même avoir ton feu vert.
-lydia : pas de problème. Tant que c’est en tout bien tout honneur.
-allison : tu me connais quand même. Je suis pas du genre à me planquer avec lui dans le bureau du coach de crosse pour lui rouler des pelles.
-lydia : à propos de ça…
Sur le parking
-jackson : vous embêtez pas c’est pas la peine. Je vais appeler une dépanneuse.
-chris : je m’y connais un peu en voiture. Laissez moi regarder, à mon avis c’est rien du tout.
-jackson : attendez, je crois pas que , elle est assez chère, et elle pourra plus être sous garantie si je fais des réparations moi-même.
-Chris : dans ce cas , c’est notre petit secret. Jackson c’est bien ça. Venez voir. Je vais vous monter comment faire.
Chris regarde la griffure de jackson.
-chris : qu’est ce qui vous est arrivé ?
-jackson : quoi ?
-chris : votre nuque ? vous vous êtes fait mal c’est ça ?
-jackson : euh. Non c’est rien, je veux dire c’est qu’une égratignure. C’est tout.
-chris : c’est plus qu’une égratignure. On dirait plutôt des marques de griffes. Vous vous sentez bien ?
-jackson : oui ça va ; mais je vais appeler la dépanneuse. Ce sera plus simple.
-chris : d’accord. Pourquoi vous êtes si réticent à me dire qui vous a fait ça ?
Stiles et scott arrivent.
-scott : salut !
-stiles : comment ça va mec ?
-scott : vous avez un problème ?
-chris : bonjour scott. Ton ami à un soucis avec sa voiture. On jetait un coup d’œil.
-stiles : pas de bol.
-scott : ils ont surement une dépanneuse, au garage au bout de la rue.
-stiles : tu veux qu’on te dépose ? allez, reste pas là tout seul jackson. Avec ta belle gueule il va t’arriver des bricoles.
-jackson : ouai.
-chris : eh les gars.
Chris fait redémarrer la voiture.
-chris : je vous avais dit que les voitures ça me connaissait.
Chris s’en va.
-jackson : alors c’est ça vous me suivez maintenant.
-scott : oui on te suit pauvre abruti. T’aurais tout foutu en l’air si on était pas arrivé.
-jackson : quoi qu’est-ce que tu racontes ?
-scott : il pense que c’est toi le deuxième beta.
-jackson : quoi ?
-scott : il pense que t’es moi.
-stiles : scott ma voiture.
-scott : tu sais que ton cœur je l’entends battre littéralement à un kilomètre. A cause de toi, il se doute de quelque chose. Et je suis obligé de te surveiller pour pas qu’il nous tue tous les deux.
-stiles : doucement, doucement, je propose qu’on s’éloigne un peu de ma voiture.
-jackson : tu sais quoi c’est ton problème pas le mien. J’ai rien raconté à personne donc ça sera à cause de toi s’il m’arrive quelque chose. Tout ça c’est ta faute.
-stiles : eh , elle vous a rien fait ma voiture. Allez ça va, ça va du calme. D’accord.
-scott : je pourrais pas toujours te protéger moi, si un jour il décide de s’en prendre à toi et c’est valable pour tout le monde.
-stiles : pourquoi tu me regardes ?
-jackson : dans ce cas t’as plus qu’une solution. Tu fais en sorte que j’ai ce que je veux et je me protègerais très bien moi-même.
-scott : non justement tu te trompes, tu peux me faire confiance, ça t’apportera rien,ça fait qu’empirer les choses.
-jackson : mais oui bien sûr. Tu peux entendre absolument tout et t’es le plus speed du monde, ça doit être un enfer mc call.
-scott : oui je bats des records de vitesse c’est sur. Sauf que pour la plupart du temps c’est pour échapper à des gens qui essayent de me tuer.
-jackson : oh !
-scott : et oui j’entends des choses comme ma copine par exemple , je l’entends me dire qu’elle me fait plus confiance juste avant qu’elle rompe avec moi. Voila c’est ça que tu veux. Je te jure, ce truc va bousiller ta vie.
-jackson : ça a bousillé la tienne de vie. On t’a fait don d’un pouvoir unique mais toi t’as pas su t’en servir. Y’a une image qui me vient là. C’est comme si pour tes 16 ans on t’avais offert une voiture de sport alors qu’il aurait fallu commencé par un scooter. Moi, je conduis une voiture de sport.
Dans les bois :
-Lydia : c’est quoi ce truc ?
-Alisson : on va bientôt le savoir.
Alisson met une flèche dans son arbalète et tire sur un arbre.
-lydia : qu’est-ce que c’est que ce délire ?
-allison : j’en sais rien du tout.
-Lydia : bien qu’est-ce qu’on s’éclate ! d’autres armes mortelles que tu veux essayer ?
Elles entendent un bruit.
-Alison : tient moi ça.
-lydia : mais pourquoi ?
-alison : je crois que j’ai entendu un bruit.
-lydia : et si c’était vraiment un bruit ?
-alison : si je l’ai entendu pour de vrai, je ferai mieux d’aller voir ce que c’est. T’inquiète, c’est rien si ça se trouve.
-lydia : oh et si ce quelque chose c’est rien et que ce quelque chose est dangereux ?
-alison : t’as qu’à le tuer.
Alison part seule dans la forêt. Elle tire sur Scott avec une arme électrique.
-alison : scott ! scott !
-scott : relâches ton index !
-alison: oh non pardon! Pardon je suis vraiment désolée.
-scott : nan t’inquiète c’est ma faute. Faut pas que tu t’en veuilles.
-alison : ça va aller ?
-scott : ouais ça va.
-alison : je savais pas que c’était toi. Si je t’avais vu je te jure que…
-scott : t’aurais quand même tiré ?
-alison : non, ça va pas la tête. Franchement je suis vraiment désolée. T’es sur que ça va ?
-scott : ouais, je crois que je vais m’en remettre.
-alison : au fait comment ça se fait que t’es là ? tu nous suis ?
-scott : non. Pas du tout c’est ton père. Il m’a dit que tu venais ici faire ton footing. J’espérais te trouver toute seule.
-alison : donc tu me suivais.
-scott : eh ben ouais.
-alison : et pourquoi ?
-scott : tiens, j’ai trouvé ça au lycée.
-alison : oh merci j’suis trop contente. Je commençais à croire qu’on me l’avait volé.
-scott : nan qu’est ce qui te fait dire ça, je vois pas pourquoi quelqu’un te l’aurait volé. Enfin.
-alison : merci de me l’avoir retrouvé . et rapporté.
-scott : tu me prends pour un tordu.
-alison : non, mais je dois dire que je te trouve très bizarre . comme tu l’ai toujours d’ailleurs.
Ils se prennent dans les bras.
Chez stiles :
-stiles : on peut savoir ce que tu fais ?
-shérif : je travaille.
-stiles : t’as pas besoin de moi des fois.
-shérif : si tu pouvais me servir un petit verre de whisky. Ça serait vraiment gentil.
-stiles : t’es sur une piste ?
-shérif : hey ! on est pas censé en discuter. Un tout petit peu.
-stiles : et voila ça y est. Tiens, ton verre papa.
-shérif : merci.
-stiles : allez, cul sec !
Quelques minutes plus tard.
-shérif : en fin de compte Derek hale , il serait bien plus vacile
-stiles : bien plus facile…
-shérif : facile.
-stiles : ouais c’est ça
-shérif : exact. Il serait bien plus facile de lui mettre la main dessus si on avait une vraie photo de lui mais là c’est pas le cas.
-stiles : comment ça c’est pas le cas ? vous en avez pas ?
-shérif : c’est très bizarre, sur toutes les photos qui ont été prise lors de l’arrestation, on dirait que , que ces yeux ont été remplacé par des rayons laser.
-stiles : pas mal.
-shérif : ah bon sang c’est dingue comme un tout petit verre peut te faire mal au crane. Et toi t’en sais beaucoup trop, t’as pas interêt à dire ce que je t’ai dit !
-stiles : attends ,papa je vais pas faire ça. Tu me connais non. Quand même.
-shérif : ce qu’il y’a c’est que tout est lié dans cette histoire. Le chauffeur de bus qui s’est fait tuer par exemple ; il était enquêteur d’assurance et il était impliqué dans l’incendie qui a tué la famille hale.
-stiles : licencié car suspecté de fraude.
-shérif : ouais tout à fait.
-stiles : mais les autres victimes alors ?
-shérif : l’employé du vidéo club, celui qui s’est fait égorgé, c’était un repris de justice. Un pyromane récidiviste.
-stiles : et les 2 autres types qui se sont fait assassiner dans les bois ?
-shérif : leur casier judiciaire est bourré de condamnations la plupart pour incendie.
-stiles : ils avaient peut être tous quelque chose à voir avec l’incendie. Un petit verre.
-shérif : ah non, c’est pas du tout raisonnable.
-stiles : papa , tu travailles comme un dingue, tu l’as bien mérité nan ?
-shérif : ah c’est vrai, je vais me payer une de ces gueules de bois.
-stiles : dis pas ça, je crois que tu vas te payer une bonne nuit de sommeil. Et moi je vais me payer une éternité dans les flammes de l’enfer.
Chez scott :
Scott écoute les messages sur son téléphone.
Prof : « scott, t’as pas rendu ton devoir à la maison ,je veux bien faire un effort et te laisser 48 heures mais pas plus ».
-scott : ah c’est pas possible.
On frappe à la porte.
-scott : nan pas maintenant maman. Pas maintenant je te dis.
-alison : désolée. Ta mère m’a fait entrer. T’as une minute ?
Chez stiles :
-shérif : oh y’a tellement de questions sans réponses.
-stiles : comme quoi ?
-shérif : mais je sais pas, derek s’il voulait tuer ceux avec un rapport avec l’incendie pourquoi il a commencé par tuer sa sœur, elle avait rien à se reprocher. Pourquoi faire croire à une attaque de bête sauvage ? Le puma, celui qu’on a retrouvé sur le parking, j’ai appelé la spa et ils m’ont dit qu’en ce qui concerne la vie animale, les témoignages indiquent que l’activité des animaux sauvages a augmenté de 70% ces derniers mois comme s’ils devenaient fous. On les voit sortir des bois complètement affolés.
-stiles : peut être que quelque chose leur fait peur ?
-shérif : ça me manque nos petites discutions. On prend jamais le temps de le faire…
-stiles : excuse moi papa. J’ai un petit coup de fil à passer. Je reviens tout de suite.
-shérif : ouais ça me manque. Et ta mère me manque.
-stiles : qu’est-ce que tu as dit ?
-shérif : merci.
Chez scott :
-scott : tu veux peut-être que je parle en premier nan ?
-alison : non.
-scott : ah ok. tu veux que je te laisse toute seule 2 Minutes ?
-alison: euh… pourquoi je voudrais ça ?
-scott : eh ben j’en sais rien. C’est que tu es venue ici, en disant que tu voulais discuter et on est là depuis environ 10 minutes et t’as toujours rien dit. Et moi je commence à trouver ça un peu stressant.
-alison : désolée. J’arrive pas trop à me lancer. Ça va te paraitre complètement ridicule. C’est pour ça que j’hésite à …, j’ai pas envie que tu te moques de moi.
-scott : je me moquerais jamais de toi.
-alison : ça concerne ma famille.
-scott : ok.
-alison : ils m’ont raconté un mensonge et ils ne savent pas que je sais .c’était pas grand-chose. Quand ma tante est arrivée à beacon hills elle avait des soucis avec sa voiture. Mon père m’a dit que c’était un pneu crevé mais elle m’a dit que sa batterie était à plat.
-scott : je sais pas, c’était peut-être tout simplement un malentendu.
-alison : oui , c’est ce que je me dis et puis j’ai trouvé des débris de verre sur sa voiture, comme si sa vitre avait été brisé. Récemment je les ai entendu tenir des propos très étranges. Ça semble avoir un lien avec Derek.
-scott : t’en ai sur ?
-alison : oui , je pense pas que ce soit lui du coup…
-mère de scott : scott, je rentre tard ce soir. Quoi ? qu’est-ce qu’il y a ? c’est le maquillage ? les cheveux peut-être ?
-scott : nan. Nan c’est rien. T’es magnifique.
-alison : vous êtes très belle.
-scott : t’es superbe. Et je peux savoir en quel honneur ?
-mère de scott : en l’honneur que ta mère va pour une fois partager le diner d’un membre de la gente masculine qui se trouve être âgé de plus de 16 ans.
-scott : et c’est qui ?
-mère de scott : un représentant pharmaceutique qu’est venue aujourd’hui à l’hôpital. On s’est mi à discuter et de fil en aiguille il m’a invité au restaurant. Et maintenant je me dis que j’aurais jamais du zapper la gym cette semaine.
-scott : c’est qui ce représentant pharmaceutique ?
-mère de scott : quand on parle du loup. Merde, merde, merde, j’suis pas du tout prête. J’en ai pour une minute, tu voudrais bien me rendre service, tu lui ouvres, tu lui fais la conversation, le temps que j’arrive d’accord. Sois polie.
-scott : désolé je reviens tout de suite.
Scott va ouvrir.
-mère de scott : scott ouvre s’il te plait. Scott, tu veux bien te bouger et ouvrir cette porte.
La porte s’ouvre seule ; il y’a personne.
-mère de scott : scott, tu fais quoi là, fais le entrer.
-peter : bonsoir jeune homme.
Scott essaie de refermer la porte.
-peter : franchement t’as rien trouvé de mieux que de me fermer la porte au nez. Scott réfléchit, deux minutes.
-scott : je vais tout lui dire.
-peter : quoi que j’étais un tétraplégique platonique au visage à moitié carbonisé. Je te souhaite bonne chance.
-scott : si vous osez la toucher ou de lui faire du mal.
-peter : si tu me permets d’interrompre la liste des 5 menaces les plus insignifiantes qu’on a jamais inventé, je te rappelle que j’ai été plongé dans le coma. Pendant 6 ans. alors entre nous, tu crois pas que j’ai mérité un bon diner avec une jolie femme.
-mère de scott : j’arrive tout de suite excusez -moi.
-peter : à moins que tu penses que j’ai une petite idée derrière la tête. Il faut admettre que ce sera beaucoup plus facile de te convaincre d’appartenir à ma meute si ta mère en fait partie. Je crois que tu ne saisis pas bien à quel point nous pourrions être puissant ensemble. Toi et moi, et Derek. Tu sais j’ai lu que pendant la guerre la grande fierté des allemands c’était les attaques menés par les boat, autrement dit, les sous marins militaire. Tu sais comment ils les appelaient ,les meutes de loup gris. Tu le savais ça ? ou t’es aussi à la traine en histoire.
-scott : je sais que les allemands ont perdu la guerre.
-peter : figure toi que pour la plupart des historiens c’est dû au fait qu’ils n’avaient pas choisit le bon chef de file. Et ça crois-moi ça risque pas de nous arriver.
-mère de scott : ça y est je suis prête. Désolée de vous avoir fait attendre. Bon on y va ?
-scott : maman.
-mère de scott : oui mon cœur.
-scott : passe une bonne soirée.
-mère de scott : merci.
En salle de gym. Jackson s’entraine
-jackson : qui c’est qu’a éteint ? hey !
-derek : on a les mêmes goûts en musique. Et celle là ça fait un bail que je l’ai pas entendue.
-jackson : j’ai pas peur de toi. Viens, amènes toi ! j’ai pas peur.
-derek : si, si t’as peur. Je serais même prêt à parier que pas un seul jour ne s’est écoulé dans ta vie sans que tu ais eu peur de quelque chose. Et tu n’auras plus à avoir peur. Parce que tu vas être l’un des nôtres.
Chez scott :
-scott : si tu pouvais rester ici à m’attendre , je te jure que ce sera pas long. Il faut juste que je… je t’aurais jamais fait ça si c’était pas vraiment hyper important.
-alison : c’est pas grave.
-scott : nan nan j’ai vraiment envie qu’on discute. Si j’avais le choix, je préfèrerais 1000 fois rester avec toi. T’en vas pas s’il te plait. D’accord. Attends-moi ici. Merci.
Dans les vestiaires Jackson et Derek partent sous les yeux de Kate.
Dans la voiture de Peter :
-peter : y’a un problème ?
-mère de scott : euh oui j’ai l’impression qu’on est allé trop loin, on a du manquer le restaurant.
-peter : on va chercher un plan en se servant de votre téléphone.
-mère de scott : d’accord.
Ils s’arrêtent.
-mère de scott : quoi ?
-peter : je viens de remarquer que vous aviez une peau absolument magnifique. D’une pureté parfaite.
-mère de scott : on me l’avait jamais faite celle-là.
-peter : vous permettez.
La mère de scott perd son portable.
-mère de scott : oh excusez-moi.
On voit les crocs de l’alpha. Ils se font rentrer dedans.
-mère de scott : mais c’est pas vrai tu le fais exprès. Stiles !
-stiles : mme mc call.
-mère de scott : oui.
-stiles : ah ben ça alors. Nan mais quelle coïncidence. C’est dingue ça.
-mère de scott : tu peux pas faire gaffe !
-peter : c’est bien joué Scott.
-stiles : je vous avais pas vu.
-mère de scott : nan mais je rêve.
-stiles : vérifiez vos phares arrière.
On voit scott qui se cache derrière une voiture.
-stiles : j’y peux rien moi, j’ai pas eu le temps de réagir vous avez surgit comme ça tout d’un coup.
-mère de scott : on a surgit comme ça, mais qu’est ce que tu racontes, on était garé sur le côté de la route !
-stiles : alors ça c’est vraiment dingue. Il vaudrait peut être mieux appeler la police pour prévenir qu’il y a eu un accident.
-peter : je crois pas que ce soit nécessaire.
-stiles : vous êtes sûr ? j’ai peur d’avoir eu le coup du lapin.
-mère de scott : tu te fous de moi ! c’est toi qui nous ais rentré dedans !
-stiles : je vous assure , j’ai une petite douleur dans la nuque.
A part :
-Peter : tu es là scott, et je te félicite. Quel dommage que tous les jeunes ne soient pas aussi malins. Comme ce garçon qui joue dans l’équipe de crosse. Jackson. Il a l’air d’en savoir un peu trop. Il parait que savoir c’est pouvoir. Pas dans son cas.
-scott : jackson. Ah non.
Chez Derek :
-jackson : alors c’est là ? c’est cette maison ?
-derek : entre.
-jackson : ça risque rien, j’ai pas envie de me prendre la charpente sur la tête.
-derek : va-y.
-jackson : y’a quoi à l’intérieur ?
-derek : tout ce dont tu rêves.
Jackson ouvre la porte.
-derek : tout va bien se passer. Tu verras.
-jackson : cette maison, c’est la même.
-derek : qu’est ce que tu dis ?
-jackson : je m’en souviens, je l’ai vu en rêve. Je me souviens de ces escaliers. Je me souviens de ces murs, je me souviens de tout.
-derek : t’es déjà venu ?
-jackson : non jamais je l’ai vu en rêve. Y’a personne d’autre ici. Et personne ne va venir c’est ça.
Derek sort ses griffes.
-jackson : s’il te plait, je t’en prie. Ne me fais pas de mal, je promets que je ne dirais rien à personne. Je laisserai scott tranquille mais s’il te plait me tue pas. Je t’en supplie. Je veux pas. Je veux pas mourir, je mérite pas ça.
-derek : si justement.
-jackon : non.
-derek : ouvre un peu les yeux ! comment tu expliques qu’il n’y ait personne d’autre que nous dans cette maison ? personne ne viendra te sauver ! Personne ! et ça c’est parce que tout le monde s’en balance que tu roules au volant d’une voiture de sport. On s’en balance que t’ai une coupe de cheveux parfaite. Et on s’en balance que tu sois le capitaine de l’équipe de crosse ! tu captes !
-scott : excuse-moi. Co capitaine.
Scott se jette sur derek. Ils sont transformés.
-derek : bouge de là.
-scott : non.
-derek : très bien , tu veux mourir toi aussi.
-scott : on verra.
-derek : protège tes yeux.
Un fumigène envahit la maison.La maison est envahi de tire de balle. Scott est touché.
-derek : scott va t’en ! tire toi !
Derek décide de sortir de la maison.
Chez scott :
Alison attend scott sur son lit. Elle reçoit un message de Kate « il faut qu’on parle ».
Dans les bois scott s’enfuit. Il s’effondre au sol.
-scott : alison.
Pendant ce temps chez scott, alison part. Dans les bois quelqu’un porte scott.
-scott : nan je veux pas.
-le vétérinaire : ça va aller scott. Tu vas t’en sortir.
Chez le vétérinaire, celui-ci extrait la balle.
-le vétérinaire : chut. Il vaut mieux que tu ne te lèves pas tout de suite.
-scott : je suis pas mort.
-le vétérinaire : non. Et je t’ai donné quelque chose qui devait accélérer le processus de cicatrisation.
-scott : vous êtes pas vétérinaire ?
-le vétérinaire : si biensur. A 90% de mon temps, je m’occupe essentiellement des chats et des chiens.
-scott : essentiellement.
-le vétérinaire : essentiellement.
Kate amène Alison dans une cave.
-alison : ou est ce qu’on est là ?
-kate : commençons par les bases. Tu sais que dans chaque famille il y’a des secrets. Les notres sont un peu particuliers.
Kate ouvre une porte. Alison y découvre derek.
-kate : il est magnifique ?